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UE727 - Enquêter sur les migrations et les persécutions : histoire, quantification, ethnographie
Lieu et planning
-
Autre lieu Paris
Centre Malher, salle RDJ1, 9 rue Malher 75004 Paris (métro Saint-Paul)
2nd semestre / hebdomadaire, mercredi 15:00-18:00
du 9 mars 2022 au 11 mai 2022
Nombre de séances : 8
Description
Dernière modification : 7 mars 2022 07:57
- Type d'UE
- Enseignements fondamentaux de master
- Disciplines
- Anthropologie sociale, ethnographie et ethnologie, Histoire, Méthodes et techniques des sciences sociales, Sociologie
- Page web
- https://lubartworld.cnrs.fr/atelier-d-enquete/
- Langues
- français
- Mots-clés
- Administration Espace Espace social Ethnographie Méthodes et techniques des sciences sociales Méthodes quantitatives Migration(s)
- Aires culturelles
- Amérique du Nord Amérique du Sud Europe Europe centrale et orientale France Transnational/transfrontières
Intervenant·e·s
- Claire Zalc [référent·e] directrice d'études, EHESS - directrice de recherche, CNRS / Centre de recherches historiques (CRH)
- Anton Perdoncin contrat postdoctoral, EHESS
Cet atelier d’enquête collective vise à former les étudiants à la recherche par la recherche. Il est ouvert à tous les étudiants, quelle que soit leur discipline principale. L’enjeu central est d’explorer collectivement une diversité de sources historiques, de matériaux ethnographiques et, le cas échéant, de matériaux quantitatifs, portant sur les persécutions, la déportation et les migrations de Juifs provenant de la petite ville polonaise de Lubartów.
L’atelier s’intègre à un projet de recherche plus général (le projet Lubartworld) visant à reconstruire la totalité des trajectoires individuelles des habitants de Lubartów du début des années 1920 aux années 1950, qu’ils aient émigré ou qu’ils soient restés sur place, qu’ils aient été exterminés ou qu’ils aient survécu à la Shoah.
De la construction d’objets de recherche en lien avec ce thème général, à la rédaction de rapports de recherche originaux, l’atelier fournira un cadre collectif de réflexion sur la collecte et la combinaison de matériaux historiques et ethnographiques (quantifiables ou non), la démarche de quantification, le raisonnement en sciences sociales, et l’analyse historique et sociologie des migrations et des persécutions.
Quelques terrains de recherche possibles et/ou matériaux mobilisables (liste non limitative) : les sociétés d’originaires de Lubartów, les bases de données généalogiques, l’iconographie et les sources visuelles, les archives administratives polonaises de contrôle des populations, etc.
Cet atelier est lié au séminaire Migrations et Persécutions dans l'Europe du premier XXe siècle. Les étudiants souhaitant participer à l’atelier au second semestre sont vivement incités à suivre d’abord le séminaire au premier semestre.
L'atelier de recherche aura lieu tous les mercredis, de 15h à 18h, au deuxième semestre, du 9 mars 2022 au 11 mai 2022.
Master
-
Enquêtes collectives
– Études sur le genre-Histoire
– M1/S2-M2/S4
Suivi et validation – semestriel hebdomadaire = 6 ECTS
MCC – contrôle continu, autre -
Enquêtes collectives
– Histoire-Histoire du monde/histoire des mondes
– M1/S2-M2/S4
Suivi et validation – semestriel hebdomadaire = 3 ECTS
MCC – contrôle continu, mini-mémoire de recherche -
Enquêtes collectives
– Histoire-Histoire et sciences sociales
– M1/S2-M2/S4
Suivi et validation – semestriel hebdomadaire = 3 ECTS
MCC – contrôle continu, mini-mémoire de recherche -
Enquêtes collectives
– Migrations
– M1/S2-M2/S4
Suivi et validation – semestriel hebdomadaire = 6 ECTS
MCC – contrôle continu, autre -
Enquêtes collectives
– Sciences sociales-Pratiques de l'interdisciplinarité en sciences sociales
– M1/S2-M2/S4
Suivi et validation – semestriel hebdomadaire = 6 ECTS
MCC – contrôle continu, autre -
Enquêtes collectives
– Sciences sociales-Quantifier en sciences sociales
– M1/S2-M2/S4
Suivi et validation – semestriel hebdomadaire = 6 ECTS
MCC – mini-mémoire de recherche, contrôle continu
Renseignements
- Contacts additionnels
- -
- Labels
- EUR Gender and Sexuality Studies
- Informations pratiques
L'effectif de cette enquête étant limité à 15 personnes, il est indispensable que les étudiant.e.s prennent contact avec les enseignant·e·s pour s'y inscrire.
Cet atelier est lié au séminaire Migrations et persécutions organisé par Claire Zalc au premier semestre. Les étudiant·e·s souhaitant participer à l’atelier au second semestre sont vivement incités à suivre d’abord le séminaire au premier semestre, même s'il ne s'agit pas d'un prérequis.
- Direction de travaux des étudiants
Direction de travaux dans le cadre de l'enquête collective.
- Réception des candidats
Sur RDV
- Pré-requis
Aucune connaissance particulière n'est requise pour participer à cette enquête. Il convient, néanmoins, de prévenir à l'avance les organisateur.rice.s si vous souhaitez participer à l'atelier afin de respecter l'effectif maximum de 15 personnes.
Compte rendu
Cet atelier de recherche visait à former les étudiants à la recherche par la recherche, en les intégrant à la dynamique collectif du projet de recherche Lubartworld (ERC, EHESS, CNRS ; voir le site du projet Lubartworld). En 2020-2021, les séances ont été organisées autour des étapes de construction d’une recherche en sciences sociales : délimitation d’un objet de recherche, découverte de sources sources historiques et de matériaux ethnographiques variés, recherche bibliographique, problématisation, récolte et interprétation du matériau, rédaction. Certaines séances ont aussi permis d’aborder la question de la quantification à partir de sources documentaire. Les matériaux majoritairement utilisés étaient liés aux archives des migrations, des persécutions et des déportations. Une séance a notamment permis de découvrir les fonds conservés par le Mémorial de la Shoah, grâce à la présence de Karen Taieb (responsable des archives du Mémorial).
Onze étudiantes et étudiants de l’EHESS et de l’ENS (niveaux L3 ou M0 à doctorat) ont suivi l’ensemble des séances. Leur investissement et leur enthousiasme a permis la réalisation de petits travaux de recherche pertinents et prometteurs.
Jules Ba (M2 EHESS Etudes politiques), Capucine Dulau (M0, 1ère année histoire ENS) et Sacha Mattei (M2 EHESS PDI) ont rédigé un mémoire intitulé « Les Lubartówiens déportés de France : des listes de convois aux bases de données » interrogeant les processus par lesquels ont été constituées plusieurs bases de données fournissant des listes de déportés. Ce faisant, ils tâchent de rendre compte des hiatus et divergences entre ces listes, abordant une discussion importante relative à la construction du nombre de personnes déportés et exterminées durant la Shoah.
Pauline Funk (L3, 1ère année histoire ENS) et Yacine Chitour (M1 EHESS PDI) ont rédigé un mémoire intitulé « Propriétaire en fuite ainsi que son comptable et sa secrétaire. Des trajectoires de commercant·e·s de Lubartów en France, de l’établissement à la persécution (années 1920-1945) ». Leur travail, d’une grande originalité, propose de lire l’histoire de la politique de spoliation des biens juifs à la lumières d’une histoire sociale des migrations et d’une histoire économique du petit commerce parisien. À l’issue d’un intense travail de dépouillement des archives relatives aux spoliations, ils distinguent plusieurs types de commerces spoliés et parviennent à restituer une forme d’agency des petits commerçants juifs face à la persécution.
Michael Bourdon (M2 EHESS PDI) a rédigé un mémoire intitulé « Qui témoigne pour les Lubartówiens ? les feuilles de témoignage de l’Institut Yad Vashem comme matériau pour l’histoire de la Shoah ». Après avoir extrait de la base de données de Yad Vashem les informations relatives aux Lubartówien·ne·s, il interroge le processus par lequel certaines personnes déposent une des pièces centrales des dossiers conservés par l’Institut : les feuilles de témoignage. Son travail mêle usage de données numériques et ethnographie, dans une perspective historique.
Inès Baude (M2 EHESS PDI) et Louise Bur (M1 EHESS PDI) ont rédigé un mémoire intitulé « (Ré)uni·e·s dans la mort ? Enquête autour des caveaux collectifs de l’association des originaires de Lubartów au cimetière parisien de Bagneux », fondé sur une enquête d’une grande finesse mêlant ethnographie et récolte d’archives privées. Elles interrogent non seulement la façon dont l’association des originaires de Lubartów s’est constitué autour de l’administration de caveaux et de l’organisation de commémorations, mais aussi la délicate articulation entre pratiques funéraires en migration et commémoration de disparus durant la Shoah.
Marion Frelat (APD EHESS) et Valentin Letour (M2 EHESS QESS) ont rédigé un mémoire intitulé « Les groupes d’originaires de Lubartów sur Facebook : enjeux d’une enquête en ligne ». Dans une démarche d’ethnographie des pratiques numériques, ils ont codé une partie du contenu des publications d’un des groupes d’originaires de Lubartów sur Facebook, afin de saisir quelles sont les informations publiées, par qui. Ils mettent ainsi à jour un réseau de groupes d’originaires sur Facebook, et tâchent de cerner les motifs de l’évolution de la participation à ce type de groupements d’originaires.
Un dernier mémoire relatif aux migrations internes à la Pologne n’a pas pu être mené à son terme par l’étudiant.
L’atelier s’est soldé par la tenue d’un mini-colloque ouvert au public, d’une journée, le 1er juin, durant laquelle les travaux ont été discutés par des collègues (cf. programme : https://lubartworld.cnrs.fr/enqueter-sur-les-migrations-et-les-persecutions/).
Publications
https://lubartworld.cnrs.fr/enqueter-sur-les-migrations-et-les-persecutions/
Dernière modification : 7 mars 2022 07:57
- Type d'UE
- Enseignements fondamentaux de master
- Disciplines
- Anthropologie sociale, ethnographie et ethnologie, Histoire, Méthodes et techniques des sciences sociales, Sociologie
- Page web
- https://lubartworld.cnrs.fr/atelier-d-enquete/
- Langues
- français
- Mots-clés
- Administration Espace Espace social Ethnographie Méthodes et techniques des sciences sociales Méthodes quantitatives Migration(s)
- Aires culturelles
- Amérique du Nord Amérique du Sud Europe Europe centrale et orientale France Transnational/transfrontières
Intervenant·e·s
- Claire Zalc [référent·e] directrice d'études, EHESS - directrice de recherche, CNRS / Centre de recherches historiques (CRH)
- Anton Perdoncin contrat postdoctoral, EHESS
Cet atelier d’enquête collective vise à former les étudiants à la recherche par la recherche. Il est ouvert à tous les étudiants, quelle que soit leur discipline principale. L’enjeu central est d’explorer collectivement une diversité de sources historiques, de matériaux ethnographiques et, le cas échéant, de matériaux quantitatifs, portant sur les persécutions, la déportation et les migrations de Juifs provenant de la petite ville polonaise de Lubartów.
L’atelier s’intègre à un projet de recherche plus général (le projet Lubartworld) visant à reconstruire la totalité des trajectoires individuelles des habitants de Lubartów du début des années 1920 aux années 1950, qu’ils aient émigré ou qu’ils soient restés sur place, qu’ils aient été exterminés ou qu’ils aient survécu à la Shoah.
De la construction d’objets de recherche en lien avec ce thème général, à la rédaction de rapports de recherche originaux, l’atelier fournira un cadre collectif de réflexion sur la collecte et la combinaison de matériaux historiques et ethnographiques (quantifiables ou non), la démarche de quantification, le raisonnement en sciences sociales, et l’analyse historique et sociologie des migrations et des persécutions.
Quelques terrains de recherche possibles et/ou matériaux mobilisables (liste non limitative) : les sociétés d’originaires de Lubartów, les bases de données généalogiques, l’iconographie et les sources visuelles, les archives administratives polonaises de contrôle des populations, etc.
Cet atelier est lié au séminaire Migrations et Persécutions dans l'Europe du premier XXe siècle. Les étudiants souhaitant participer à l’atelier au second semestre sont vivement incités à suivre d’abord le séminaire au premier semestre.
L'atelier de recherche aura lieu tous les mercredis, de 15h à 18h, au deuxième semestre, du 9 mars 2022 au 11 mai 2022.
-
Enquêtes collectives
– Études sur le genre-Histoire
– M1/S2-M2/S4
Suivi et validation – semestriel hebdomadaire = 6 ECTS
MCC – contrôle continu, autre -
Enquêtes collectives
– Histoire-Histoire du monde/histoire des mondes
– M1/S2-M2/S4
Suivi et validation – semestriel hebdomadaire = 3 ECTS
MCC – contrôle continu, mini-mémoire de recherche -
Enquêtes collectives
– Histoire-Histoire et sciences sociales
– M1/S2-M2/S4
Suivi et validation – semestriel hebdomadaire = 3 ECTS
MCC – contrôle continu, mini-mémoire de recherche -
Enquêtes collectives
– Migrations
– M1/S2-M2/S4
Suivi et validation – semestriel hebdomadaire = 6 ECTS
MCC – contrôle continu, autre -
Enquêtes collectives
– Sciences sociales-Pratiques de l'interdisciplinarité en sciences sociales
– M1/S2-M2/S4
Suivi et validation – semestriel hebdomadaire = 6 ECTS
MCC – contrôle continu, autre -
Enquêtes collectives
– Sciences sociales-Quantifier en sciences sociales
– M1/S2-M2/S4
Suivi et validation – semestriel hebdomadaire = 6 ECTS
MCC – mini-mémoire de recherche, contrôle continu
- Contacts additionnels
- -
- Labels
- EUR Gender and Sexuality Studies
- Informations pratiques
L'effectif de cette enquête étant limité à 15 personnes, il est indispensable que les étudiant.e.s prennent contact avec les enseignant·e·s pour s'y inscrire.
Cet atelier est lié au séminaire Migrations et persécutions organisé par Claire Zalc au premier semestre. Les étudiant·e·s souhaitant participer à l’atelier au second semestre sont vivement incités à suivre d’abord le séminaire au premier semestre, même s'il ne s'agit pas d'un prérequis.
- Direction de travaux des étudiants
Direction de travaux dans le cadre de l'enquête collective.
- Réception des candidats
Sur RDV
- Pré-requis
Aucune connaissance particulière n'est requise pour participer à cette enquête. Il convient, néanmoins, de prévenir à l'avance les organisateur.rice.s si vous souhaitez participer à l'atelier afin de respecter l'effectif maximum de 15 personnes.
-
Autre lieu Paris
Centre Malher, salle RDJ1, 9 rue Malher 75004 Paris (métro Saint-Paul)
2nd semestre / hebdomadaire, mercredi 15:00-18:00
du 9 mars 2022 au 11 mai 2022
Nombre de séances : 8
Cet atelier de recherche visait à former les étudiants à la recherche par la recherche, en les intégrant à la dynamique collectif du projet de recherche Lubartworld (ERC, EHESS, CNRS ; voir le site du projet Lubartworld). En 2020-2021, les séances ont été organisées autour des étapes de construction d’une recherche en sciences sociales : délimitation d’un objet de recherche, découverte de sources sources historiques et de matériaux ethnographiques variés, recherche bibliographique, problématisation, récolte et interprétation du matériau, rédaction. Certaines séances ont aussi permis d’aborder la question de la quantification à partir de sources documentaire. Les matériaux majoritairement utilisés étaient liés aux archives des migrations, des persécutions et des déportations. Une séance a notamment permis de découvrir les fonds conservés par le Mémorial de la Shoah, grâce à la présence de Karen Taieb (responsable des archives du Mémorial).
Onze étudiantes et étudiants de l’EHESS et de l’ENS (niveaux L3 ou M0 à doctorat) ont suivi l’ensemble des séances. Leur investissement et leur enthousiasme a permis la réalisation de petits travaux de recherche pertinents et prometteurs.
Jules Ba (M2 EHESS Etudes politiques), Capucine Dulau (M0, 1ère année histoire ENS) et Sacha Mattei (M2 EHESS PDI) ont rédigé un mémoire intitulé « Les Lubartówiens déportés de France : des listes de convois aux bases de données » interrogeant les processus par lesquels ont été constituées plusieurs bases de données fournissant des listes de déportés. Ce faisant, ils tâchent de rendre compte des hiatus et divergences entre ces listes, abordant une discussion importante relative à la construction du nombre de personnes déportés et exterminées durant la Shoah.
Pauline Funk (L3, 1ère année histoire ENS) et Yacine Chitour (M1 EHESS PDI) ont rédigé un mémoire intitulé « Propriétaire en fuite ainsi que son comptable et sa secrétaire. Des trajectoires de commercant·e·s de Lubartów en France, de l’établissement à la persécution (années 1920-1945) ». Leur travail, d’une grande originalité, propose de lire l’histoire de la politique de spoliation des biens juifs à la lumières d’une histoire sociale des migrations et d’une histoire économique du petit commerce parisien. À l’issue d’un intense travail de dépouillement des archives relatives aux spoliations, ils distinguent plusieurs types de commerces spoliés et parviennent à restituer une forme d’agency des petits commerçants juifs face à la persécution.
Michael Bourdon (M2 EHESS PDI) a rédigé un mémoire intitulé « Qui témoigne pour les Lubartówiens ? les feuilles de témoignage de l’Institut Yad Vashem comme matériau pour l’histoire de la Shoah ». Après avoir extrait de la base de données de Yad Vashem les informations relatives aux Lubartówien·ne·s, il interroge le processus par lequel certaines personnes déposent une des pièces centrales des dossiers conservés par l’Institut : les feuilles de témoignage. Son travail mêle usage de données numériques et ethnographie, dans une perspective historique.
Inès Baude (M2 EHESS PDI) et Louise Bur (M1 EHESS PDI) ont rédigé un mémoire intitulé « (Ré)uni·e·s dans la mort ? Enquête autour des caveaux collectifs de l’association des originaires de Lubartów au cimetière parisien de Bagneux », fondé sur une enquête d’une grande finesse mêlant ethnographie et récolte d’archives privées. Elles interrogent non seulement la façon dont l’association des originaires de Lubartów s’est constitué autour de l’administration de caveaux et de l’organisation de commémorations, mais aussi la délicate articulation entre pratiques funéraires en migration et commémoration de disparus durant la Shoah.
Marion Frelat (APD EHESS) et Valentin Letour (M2 EHESS QESS) ont rédigé un mémoire intitulé « Les groupes d’originaires de Lubartów sur Facebook : enjeux d’une enquête en ligne ». Dans une démarche d’ethnographie des pratiques numériques, ils ont codé une partie du contenu des publications d’un des groupes d’originaires de Lubartów sur Facebook, afin de saisir quelles sont les informations publiées, par qui. Ils mettent ainsi à jour un réseau de groupes d’originaires sur Facebook, et tâchent de cerner les motifs de l’évolution de la participation à ce type de groupements d’originaires.
Un dernier mémoire relatif aux migrations internes à la Pologne n’a pas pu être mené à son terme par l’étudiant.
L’atelier s’est soldé par la tenue d’un mini-colloque ouvert au public, d’une journée, le 1er juin, durant laquelle les travaux ont été discutés par des collègues (cf. programme : https://lubartworld.cnrs.fr/enqueter-sur-les-migrations-et-les-persecutions/).
Publications
https://lubartworld.cnrs.fr/enqueter-sur-les-migrations-et-les-persecutions/