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UE343 - Anthropologie politique : politiques de l’écriture


Lieu et planning


Planning en cours de validation.


Description


Dernière modification : 7 mai 2024 15:33

Type d'UE
Séminaires DR/CR
Disciplines
Anthropologie sociale, ethnographie et ethnologie, Méthodes et techniques des sciences sociales
Page web
-
Langues
-
Mots-clés
Anarchisme Anthropologie Anthropologie politique Capitalisme Démocratie Écriture Épistémologie État et politiques publiques Ethnographie Mobilisation(s) Orientalisme Post-coloniales (études)
Aires culturelles
Afrique Amériques Asie Europe Océanie
Intervenant·e·s
  • Riccardo Ciavolella [référent·e]   chargé de recherche, CNRS / Laboratoire d'anthropologie politique (LAP)
  • Éric Wittersheim   maître de conférences, EHESS / Laboratoire d'anthropologie politique (LAP)

Ce séminaire s'inscrit dans le sillage de celui qui a permis l’enseignement de l’anthropologie politique à l’EHESS pendant les douze dernières années (intitulé « Anthropologie du politique »). Il se renouvelle dans sa forme et son contenu en proposant, notamment au second semestre, une focalisation autour de la question de l’écriture. Notre séminaire a toujours placé au cœur de sa démarche l’articulation entre les concepts, outils, postures et perspectives d’une branche disciplinaire (l’anthropologie politique) et le décloisonnement de la réflexion que l’association de ces deux termes favorise. Il s’agit de penser les subjectivités en jeu dans la rencontre ethnographique, les rapports de pouvoir dont cette dernière peut être la manifestation, le lien intime entre savoir anthropologique et expériences ou imaginaires politiques et les manières de rendre compte des dimensions déontologiques, et parfois même idéologiques, du travail anthropologique et de son rôle public (les politiques de l’anthropologie). Cette année, il s’agira de renforcer ce dernier aspect, en assumant plus spécifiquement le caractère politique de l’écriture anthropologique, dont la version strictement militante et pamphlétaire n’est qu’une option parmi les différentes formes d’écriture (cahier de notes et journal intime sur le terrain, compte-rendu, restitution, formulation théorique, écriture littéraire, de fiction, « alternative » ou co-produite, etc.), qui donnent forme à l’engagement anthropologique dans le monde.

La première partie du séminaire sera consacrée à la constitution de l’anthropologie politique, davantage comme champ de réflexion pour interroger le monde que comme branche disciplinaire proprement dite. À un moment où l’anthropologie politique renouvelle ses approches et ses outils d’interprétation, et se singularise comme un savoir et une pratique de recherche critiques, capable d’intercepter, décrire et décoder le monde actuel, avec ses (in)certitudes, ses tensions et ses crises, les premières séances croiseront l’étude critique des courants et des thèmes classiques (organisation politique, ordre et changement, refus de l’État, domination/résistance, etc.) avec l’interrogation, tout aussi critique, de thèmes et d’enjeux contemporains (guerre, crise, anthropocène, pensée post- et décoloniale, subjectivités émergentes, populismes, globalisation, etc.). Posture décentrée et lieu d’élaboration et d’innovation méthodologique et théorique, l’anthropologie politique repose sur une démarche qui, depuis les débuts, a tenté de bouleverser la conception canonique de l’anthropologie et s’est montrée capable d’intégrer, comme d’alimenter, les postures postcoloniales et subalternes. L’anthropologie politique a cherché en même temps à mettre au centre l’expérience concrète des acteurs et leurs efforts pour s’ériger en sujets politiques, fondant une approche méthodologique qui s’emploie à varier les échelles, également qualifiée de « multisituée » ou de « processuelle », qui invite à dialoguer avec d’autres formes de recherche sur le politique. 

À partir de cet espace commun de discussion et réflexion, l’enseignement atténuera sa dimension pédagogique et prendra une forme davantage séminariale, explorative et horizontale, pour interroger collectivement les politiques de l’écriture anthropologique. Dans un jeu de construction et de déconstruction d’un supposé « champ » disciplinaire, il s’agira de décloisonner l’écriture de l’anthropologie en l’inscrivant dans une réflexion plus large sur le sens du travail anthropologique et sa restitution sous forme de récit, mais aussi sur l’écriture tout court, en entendant par là une pratique individuelle et sociale, un geste créatif, un enjeu éthique et un acte d’inscription dans le monde, qui présuppose réflexivité, restitution et prise en compte de sa réception et de ses effets. Cette manière d’entendre l’écriture s’avère indispensable, à un moment où les invocations, les envies et les appels à écrire les sciences sociales « autrement » courent le risque de cristalliser l’opposition, que l’on voudrait dépasser, entre écriture académique et écriture « autre », tout en préservant la rigueur scientifique que l’anthropologue doit au monde pour pouvoir en parler. Tout en restituant l’histoire des débats internes à l’anthropologie autour de la question de l’écriture (de l’inspiration littéraire au « double livre », du cahier et du journal de terrain à l’écriture politique ou à la recherche-création, du tournant postmoderne aux expérimentations actuelles de co-écriture, en passant par les effets du postcolonial et de la crise de l’autorité ethnographique), les discussions porteront plus largement sur la question du rapport entre écriture et altérité, le récit anthropologique englobant une interrogation réflexive sur la possibilité de représenter l’Autre, l’Ailleurs et l’Autrement. 

Prenant appui sur les réflexions gramsciennes autour des liens entre littérature « nationale », littérature « sauvagiste », idéologies, fonction des intellectuels, culture populaire et politique et sur leurs développements dans le débat postcolonial, on discutera, par exemple : du rapport « populiste » entre intellectuels et masses ; des rhétoriques de l’altérité (le sauvage, le populaire, l’alternatif, le chamanique, etc.) ; des fonctions politiques des récits identitaires ; du rapport entre ethnographie et fiction ; des risques de réduction de l’expérimentation anthropologique à une écriture narcissique de soi ou à une description non conventionnelle du terrain ; de l’attirance ou la fascination pour les alternatives et les utopies conduisant à une forme d’« enchantement du terrain » ; de la dimension nostalgique du récit ethnographique et du devoir de mémoire dans le rapport au passé ou au vécu ; de l’imagination du lectorat et de l’anticipation de la réception de l’écrit ; des transformations de l’écriture de l’Ailleurs et des risques d’exotisme posés par la littérature de voyage ; ou encore, bien évidemment, de la possibilité d'émergence d’un sujet-Autre qui écrive l’histoire et le monde.

Bibliographie indicative

  • Balandier, Georges, Anthropologie politique, Paris, PUF, 1967.
  • Bazin, Jean, Des clous dans la Joconde. L’anthropologie autrement, Toulouse, Anacharsis, 2008
  • Bensa, Alban, La Fin de l’exotisme. Essais d’anthropologie critique, Toulouse, Anacharsis, 2006
  • Bensa, Alban et François Pouillon, Terrains d’écrivains. Littérature et ethnographie, Toulouse, Anacharsis, 2012
  • Ciavolella Riccardo & Wittersheim Eric, Introduction à l’anthropologie du politique, Louvain, De Boeck, 2016.
  • Ciavolella Riccardo, Sabrina Melenotte, Gianfranco Rebucini & Eric Wittersheim (eds.), 2021, “Beyond Political Anthropology”,  Condition humaine/conditions politiques, 2
  • Clifford James &. Georges Marcus, Writing Culture, The Poetics and Politics of Ethnography. Berkeley, University of California Press, 1986.
  • Das, Veena & Poole, Deborah, Anthropology in the Margins of the State, New Delhi: Oxford University Press, 2004.
  • Debaene, Vincent,  L’Adieu au voyage. L’ethnologie française entre science et littérature, Paris, Gallimard, 2010.
  • Fabian, Johannes, Le Temps et les autres. Comment l’anthropologie construit son objet, Toulouse, Anacharsis, 2006. 
  • Jolly, Margaret, « Power and the Politics of Anthropology », Condition humaine/Conditions politiques, 2, 2021. 
  • Marcus, Georges E. “Ethnography in/of the World System: The Emergence  of Multi-Sited Ethnography”, Annual Review of Anthropology 24, 1995: 95-117. 
  • Naepels, Michel, Ethnographie, pragmatique, histoire : un parcours de recherche à Houaïlou (Nouvelle-Calédonie). Paris, Editions de la Sorbonne, 2011. 
  • Scott, James C., La Domination et les arts de la résistance. Fragments du discours subalterne, Paris, Editions Amsterdam, 2009 [1990].
  • Scott, James C., L’Œil de l’État. Moderniser, uniformiser, détruire, Paris, La Découverte, 2021.
  • Spivak, Gayatri C., "Can the Subaltern Speak?" in Marxism and the Interpretation of Culture, Cary Nelson and Lawrence Grossberg (eds.). Basingstoke: Macmillan. 271–313. 1988.
  • Trémon, Anne-Christine, « Que faire du couple local/global ? Pour une anthropologie pleinement processuelle »,Social Anthropology/Anthropologie Sociale, 2012.
  • Tsing, Anna, Le Champignon de la fin du monde. Sur les possibilités de vivre dans les ruines du capitalisme, Paris, La Découverte, 2015.
  • Wittersheim, Eric, « Filmer l'utopie ? Retour sur Allers-retours à la terre », Études rurales, 199, 91-110, 2017.

Master


  • Séminaires de recherche – Anthropologie-Ethnologie et anthropologie sociale – M1/S1-S2-M2/S3-S4
    Suivi et validation – annuel bi-mensuelle = 6 ECTS
    MCC – fiche de lecture

Renseignements


Contacts additionnels
-
Informations pratiques
-
Direction de travaux des étudiants
-
Réception des candidats
-
Pré-requis
-

Dernière modification : 7 mai 2024 15:33

Type d'UE
Séminaires DR/CR
Disciplines
Anthropologie sociale, ethnographie et ethnologie, Méthodes et techniques des sciences sociales
Page web
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Langues
-
Mots-clés
Anarchisme Anthropologie Anthropologie politique Capitalisme Démocratie Écriture Épistémologie État et politiques publiques Ethnographie Mobilisation(s) Orientalisme Post-coloniales (études)
Aires culturelles
Afrique Amériques Asie Europe Océanie
Intervenant·e·s
  • Riccardo Ciavolella [référent·e]   chargé de recherche, CNRS / Laboratoire d'anthropologie politique (LAP)
  • Éric Wittersheim   maître de conférences, EHESS / Laboratoire d'anthropologie politique (LAP)

Ce séminaire s'inscrit dans le sillage de celui qui a permis l’enseignement de l’anthropologie politique à l’EHESS pendant les douze dernières années (intitulé « Anthropologie du politique »). Il se renouvelle dans sa forme et son contenu en proposant, notamment au second semestre, une focalisation autour de la question de l’écriture. Notre séminaire a toujours placé au cœur de sa démarche l’articulation entre les concepts, outils, postures et perspectives d’une branche disciplinaire (l’anthropologie politique) et le décloisonnement de la réflexion que l’association de ces deux termes favorise. Il s’agit de penser les subjectivités en jeu dans la rencontre ethnographique, les rapports de pouvoir dont cette dernière peut être la manifestation, le lien intime entre savoir anthropologique et expériences ou imaginaires politiques et les manières de rendre compte des dimensions déontologiques, et parfois même idéologiques, du travail anthropologique et de son rôle public (les politiques de l’anthropologie). Cette année, il s’agira de renforcer ce dernier aspect, en assumant plus spécifiquement le caractère politique de l’écriture anthropologique, dont la version strictement militante et pamphlétaire n’est qu’une option parmi les différentes formes d’écriture (cahier de notes et journal intime sur le terrain, compte-rendu, restitution, formulation théorique, écriture littéraire, de fiction, « alternative » ou co-produite, etc.), qui donnent forme à l’engagement anthropologique dans le monde.

La première partie du séminaire sera consacrée à la constitution de l’anthropologie politique, davantage comme champ de réflexion pour interroger le monde que comme branche disciplinaire proprement dite. À un moment où l’anthropologie politique renouvelle ses approches et ses outils d’interprétation, et se singularise comme un savoir et une pratique de recherche critiques, capable d’intercepter, décrire et décoder le monde actuel, avec ses (in)certitudes, ses tensions et ses crises, les premières séances croiseront l’étude critique des courants et des thèmes classiques (organisation politique, ordre et changement, refus de l’État, domination/résistance, etc.) avec l’interrogation, tout aussi critique, de thèmes et d’enjeux contemporains (guerre, crise, anthropocène, pensée post- et décoloniale, subjectivités émergentes, populismes, globalisation, etc.). Posture décentrée et lieu d’élaboration et d’innovation méthodologique et théorique, l’anthropologie politique repose sur une démarche qui, depuis les débuts, a tenté de bouleverser la conception canonique de l’anthropologie et s’est montrée capable d’intégrer, comme d’alimenter, les postures postcoloniales et subalternes. L’anthropologie politique a cherché en même temps à mettre au centre l’expérience concrète des acteurs et leurs efforts pour s’ériger en sujets politiques, fondant une approche méthodologique qui s’emploie à varier les échelles, également qualifiée de « multisituée » ou de « processuelle », qui invite à dialoguer avec d’autres formes de recherche sur le politique. 

À partir de cet espace commun de discussion et réflexion, l’enseignement atténuera sa dimension pédagogique et prendra une forme davantage séminariale, explorative et horizontale, pour interroger collectivement les politiques de l’écriture anthropologique. Dans un jeu de construction et de déconstruction d’un supposé « champ » disciplinaire, il s’agira de décloisonner l’écriture de l’anthropologie en l’inscrivant dans une réflexion plus large sur le sens du travail anthropologique et sa restitution sous forme de récit, mais aussi sur l’écriture tout court, en entendant par là une pratique individuelle et sociale, un geste créatif, un enjeu éthique et un acte d’inscription dans le monde, qui présuppose réflexivité, restitution et prise en compte de sa réception et de ses effets. Cette manière d’entendre l’écriture s’avère indispensable, à un moment où les invocations, les envies et les appels à écrire les sciences sociales « autrement » courent le risque de cristalliser l’opposition, que l’on voudrait dépasser, entre écriture académique et écriture « autre », tout en préservant la rigueur scientifique que l’anthropologue doit au monde pour pouvoir en parler. Tout en restituant l’histoire des débats internes à l’anthropologie autour de la question de l’écriture (de l’inspiration littéraire au « double livre », du cahier et du journal de terrain à l’écriture politique ou à la recherche-création, du tournant postmoderne aux expérimentations actuelles de co-écriture, en passant par les effets du postcolonial et de la crise de l’autorité ethnographique), les discussions porteront plus largement sur la question du rapport entre écriture et altérité, le récit anthropologique englobant une interrogation réflexive sur la possibilité de représenter l’Autre, l’Ailleurs et l’Autrement. 

Prenant appui sur les réflexions gramsciennes autour des liens entre littérature « nationale », littérature « sauvagiste », idéologies, fonction des intellectuels, culture populaire et politique et sur leurs développements dans le débat postcolonial, on discutera, par exemple : du rapport « populiste » entre intellectuels et masses ; des rhétoriques de l’altérité (le sauvage, le populaire, l’alternatif, le chamanique, etc.) ; des fonctions politiques des récits identitaires ; du rapport entre ethnographie et fiction ; des risques de réduction de l’expérimentation anthropologique à une écriture narcissique de soi ou à une description non conventionnelle du terrain ; de l’attirance ou la fascination pour les alternatives et les utopies conduisant à une forme d’« enchantement du terrain » ; de la dimension nostalgique du récit ethnographique et du devoir de mémoire dans le rapport au passé ou au vécu ; de l’imagination du lectorat et de l’anticipation de la réception de l’écrit ; des transformations de l’écriture de l’Ailleurs et des risques d’exotisme posés par la littérature de voyage ; ou encore, bien évidemment, de la possibilité d'émergence d’un sujet-Autre qui écrive l’histoire et le monde.

Bibliographie indicative

  • Balandier, Georges, Anthropologie politique, Paris, PUF, 1967.
  • Bazin, Jean, Des clous dans la Joconde. L’anthropologie autrement, Toulouse, Anacharsis, 2008
  • Bensa, Alban, La Fin de l’exotisme. Essais d’anthropologie critique, Toulouse, Anacharsis, 2006
  • Bensa, Alban et François Pouillon, Terrains d’écrivains. Littérature et ethnographie, Toulouse, Anacharsis, 2012
  • Ciavolella Riccardo & Wittersheim Eric, Introduction à l’anthropologie du politique, Louvain, De Boeck, 2016.
  • Ciavolella Riccardo, Sabrina Melenotte, Gianfranco Rebucini & Eric Wittersheim (eds.), 2021, “Beyond Political Anthropology”,  Condition humaine/conditions politiques, 2
  • Clifford James &. Georges Marcus, Writing Culture, The Poetics and Politics of Ethnography. Berkeley, University of California Press, 1986.
  • Das, Veena & Poole, Deborah, Anthropology in the Margins of the State, New Delhi: Oxford University Press, 2004.
  • Debaene, Vincent,  L’Adieu au voyage. L’ethnologie française entre science et littérature, Paris, Gallimard, 2010.
  • Fabian, Johannes, Le Temps et les autres. Comment l’anthropologie construit son objet, Toulouse, Anacharsis, 2006. 
  • Jolly, Margaret, « Power and the Politics of Anthropology », Condition humaine/Conditions politiques, 2, 2021. 
  • Marcus, Georges E. “Ethnography in/of the World System: The Emergence  of Multi-Sited Ethnography”, Annual Review of Anthropology 24, 1995: 95-117. 
  • Naepels, Michel, Ethnographie, pragmatique, histoire : un parcours de recherche à Houaïlou (Nouvelle-Calédonie). Paris, Editions de la Sorbonne, 2011. 
  • Scott, James C., La Domination et les arts de la résistance. Fragments du discours subalterne, Paris, Editions Amsterdam, 2009 [1990].
  • Scott, James C., L’Œil de l’État. Moderniser, uniformiser, détruire, Paris, La Découverte, 2021.
  • Spivak, Gayatri C., "Can the Subaltern Speak?" in Marxism and the Interpretation of Culture, Cary Nelson and Lawrence Grossberg (eds.). Basingstoke: Macmillan. 271–313. 1988.
  • Trémon, Anne-Christine, « Que faire du couple local/global ? Pour une anthropologie pleinement processuelle »,Social Anthropology/Anthropologie Sociale, 2012.
  • Tsing, Anna, Le Champignon de la fin du monde. Sur les possibilités de vivre dans les ruines du capitalisme, Paris, La Découverte, 2015.
  • Wittersheim, Eric, « Filmer l'utopie ? Retour sur Allers-retours à la terre », Études rurales, 199, 91-110, 2017.
  • Séminaires de recherche – Anthropologie-Ethnologie et anthropologie sociale – M1/S1-S2-M2/S3-S4
    Suivi et validation – annuel bi-mensuelle = 6 ECTS
    MCC – fiche de lecture
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Planning en cours de validation.