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UE119 - Société et pouvoir à l'époque moderne


Lieu et planning


  • 105 bd Raspail
    105 bd Raspail 75006 Paris
    Salle 8
    annuel / hebdomadaire, vendredi 09:00-11:00
    du 6 novembre 2020 au 11 juin 2021


Description


Dernière modification : 19 mai 2020 16:21

Type d'UE
Séminaires DE/MC
Disciplines
Anthropologie historique, Histoire
Page web
-
Langues
français
Mots-clés
Anthropologie historique Domination Droit, normes et société Dynamiques sociales Famille Genre Histoire Histoire économique et sociale Institutions Parenté Politique Ville
Aires culturelles
Europe France
Intervenant·e·s
  • Fanny Cosandey [référent·e]   directrice d'études, EHESS / Centre de recherches historiques (CRH)
  • Robert Descimon   directeur d'études (retraité·e), EHESS / Centre de recherches historiques (CRH)
  • Elie Haddad   chargé de recherche, CNRS / Centre de recherches historiques (CRH)

Ouvert à toutes et à tous, ce séminaire se veut un atelier de fabrication et de démonstration d’une histoire sociale inscrite dans l’espace politique de l’Ancien Régime. En interrogeant les modalités de participation au pouvoir tout en saisissant les cadres dans lesquels évoluent les ordres, corps, communautés, familles et individus, il cherche à éclairer les évolutions du fonctionnement des systèmes politiques, notamment de la France dite « moderne ». D’un point de vue pédagogique et méthodologique, le séminaire présente des recherches en train de se faire, fondées sur des travaux empiriques qui portent une attention particulière à la construction et à l’usage des sources, mais toujours dans le cadre d’interrogations systémiques visant à énoncer des propositions générales.

L’année à venir sera partagée en deux séquences principales d’interventions, l’une travaillant les formes de la transmission, l’autre revenant sur les évolutions du régime politique de la France moderne. Dans un premier temps, le séminaire s’intéressera ainsi aux données généalogiques en cherchant à restituer l’intégralité des possibles auxquels les acteurs (familles princières ou nobles) étaient ponctuellement confrontés. D’une manière générale, la question sera posée de la parenté comme porteuse, ou non, des gestes et des attendus de la reproduction sociale. La deuxième séquence élargira la perspective en abordant l’articulation entre histoire sociale et histoire politique à travers les questions des transformations de l’office vénal, des charges corporatives, des constructions nobiliaires et bourgeoises, du droit, et de leur place dans les changements structurels de la monarchie et de la société d’Ancien Régime, jusqu’à la Révolution.

Le programme détaillé n'est pas disponible.


Master


  • Séminaires de recherche – Histoire-Histoire du monde/histoire des mondes – M1/S1-S2-M2/S3-S4
    Suivi et validation – annuel hebdomadaire = 12 ECTS
    MCC – fiche de lecture
  • Séminaires de recherche – Histoire-Histoire et sciences sociales – M1/S1-S2-M2/S3-S4
    Suivi et validation – annuel hebdomadaire = 12 ECTS
    MCC – fiche de lecture

Renseignements


Contacts additionnels
-
Informations pratiques

contacter les enseignants par courriel.

Direction de travaux des étudiants

sur rendez-vous.

Réception des candidats

sur rendez-vous.

Pré-requis
-

Compte rendu


Poursuivant ses travaux interrompus l’année précédente, le séminaire, qui s’est entièrement tenu par visioconférence, a consacré une longue séquence à la question des rapports entre parenté et reproduction sociale à l’époque moderne, en dialogue notamment avec le livre de Joseph Morsel Noblesse, parenté et reproduction sociale à la fin du Moyen Âge, dont Isabelle Daillant a présenté une lecture du point de vue de l’ethnologie.

L’objectif était de revenir sur l’approche généalogique et anthropologique de la parenté ainsi que sur les conceptions de la société et de la hiérarchie pour déterminer, à partir de cas concrets, les possibles auxquels étaient confrontés les acteurs, les déterminations pesant sur leurs parcours et, d’une manière systémique, les jeux entre exercice de la parenté et maintien de la domination sociale. L’enquête s’est déployée sur différents terrains : noblesse de robe et d’épée, familles princières, corporations parisiennes (Mathieu Marraud et Laurence Croq), mais aussi noblesse ibérique (Antoine Roullet), ou encore usages des fidéicommis dans les élites vénitiennes (Jean-François Chauvard). Anita Guerreau-Jalabert a ouvert sur des perspectives de plus longues durées en exposant ses travaux sur la filiation dans le système de parenté médiéval.

Le séminaire a repris ensuite, dans une deuxième séquence, ses analyses d’approches sociales du politique dans une perspective comparatiste. Là encore, les séances se sont placées dans la suite de celles inaugurées et interrompues l’année précédente sur la politique vénale colbertienne, ses déterminations et ses conséquences sociales et politiques. La vénalité y a de nouveau tenu une place importante : politique vénale louis-quatorzienne, avec ses coûts sociopolitiques pour les officiers « moyens » (Vincent Meyzie), place des pratiques dans la vénalité de certains offices (Robert Descimon, Aurélie Massie et Geneviève Morin), analyse de cette vénalité par une méthode économique (Olivier Musy et Ronan Tallec), confrontation entre les modèles corporatifs et officiers (Mathieu Marraud). Les interrogations se sont également portées vers les enquêtes monarchiques concernant la noblesse des terres et la noblesse des hommes, pour en montrer les attendus, les formes de pouvoir à l’œuvre, les convergences et différences, les conséquences sociales. Deux séances ont également ouvert vers des comparaisons avec d’autres pays. L’une, assurée par Guillaume Carré, a présenté la structuration des maisons de daimyô japonaises en branches aînées et branches cadettes pour montrer comment cette organisation sociale doit se comprendre en rapport avec l’ordre politique instauré par les Tokugawa. L’autre, assurée par Elena Sanchez de Madariaga, a analysé à partir d’un cas exceptionnel de patronage féminin le rôle des fondations pieuses dans les dots et les modèles familiaux à Madrid entre XVe et XVIIe siècle, ouvrant des perspectives nouvelles sur la place de l’organisation ecclésiastique dans les formes de pouvoir et de structuration familiale de la noblesse hispanique.

Enfin, trois séances ont été consacrées à des travaux récents sur l’histoire socio-politique du libertinage. À travers un cas de scandale portant sur un couvent de cordelières à Provins au XVIIe siècle, Nicolas Schapira s’est interrogé sur le phénomène du libertinage dans ses aspects locaux, ancrés dans la vie sociale et religieuse de la ville. Prenant un autre angle d’approche, Laurence Giavarini a présenté ses travaux sur la notion de conjonctures libertines au XVIIe siècle, en montrant qu’elles sont des déplacements de la question théologico-politique portés par des conflits où les écrits tiennent une place centrale. Sa lecture des Historiettes de Tallemand des Réaux comme histoire libertine de l’absolutisme illustre le fait que les contemporains eux-mêmes développaient une approche sociale du politique par l’intermédiaire d’un discours sur les mœurs, lequel pouvait être porteur d’une forte charge critique.

Publications

Publications de Fanny Cosandey :

  • « La reine en ses terres : l’exemple de Catherine de Médicis » dans Nel solco di Teodora. Pratiche, modelli e rappresentazioni del potere femminile dall’antico al contemporaneo, sous la dir. de  Maria Teresa Guerrini, Vicenzo Lagioia et Simona Negruzzo, Franco Angeli, 2020, p. 180-190.
  • « La représentation dans le cérémonial monarchique : manifester l’absence », dans La représentation avant le gouvernement représentatif, sous la dir. de Samuel Hayat, Corinne Péneau et Yves Sintomer, Presses Universitaires de Rennes, 2020, p. 75-96.
  • Avec Isabelle Backouche, Marie-Élizabeth Ducreux, Christophe Duhamelle, Elie Haddad, Laurent Joly et Mathieu Marraud, Frontières, seuils, limites. Histoire sociale des catégorisations, L’Atelier du CRH, n° 21 bis, 2020.
  • Avec Isabelle Backouche, Marie-Élizabeth Ducreux, Christophe Duhamelle, Elie Haddad, Laurent Joly et Mathieu Marraud, Traduction anglaise : Borders, Thresholds, Boundaries: A Social History of Categorizations, L’Atelier du CRH, n° 22 bis, 2021.
  • « Quelles frontières entre public et privé ? Réflexions à partir du domaine royal », dans Frontières, seuils, limites. Histoire sociale des catégorisations, op. cit., n° 21 bis, 2020.
  • Traduction anglaise : « What is the boundary between public and private ? Some reflections, based on the royal domain », dans Borders, Thresholds, Boundaries: A Social History of Categorizations, op. cit., n° 22 bis, 2021.
  • « Introduction », co-écrite avec Isabelle Backouche, Marie-Élizabeth Ducreux, Christophe Duhamelle, Elie Haddad, Laurent Joly et Mathieu Marraud, dans Frontières, seuils, limites. Histoire sociale des catégorisations, op. cit., n° 21 bis, 2020.
  • Traduction anglaise : « Introduction », dans Borders, Thresholds, Boundaries : A Social History of Categorizations, op. cit., 2021.
  • « Les ducs et pairs sous Louis XIV : montrer sa puissance ou craindre de déchoir ? La contestation lors de l’entrée solennelle de 1660 » dans L’expérience du déclassement social, France-Italie, XVIe-premier XIXe siècle), sous la dir. de : Jean-François Chauvard, Michela Barbot et Stefano Levati, Rome, École Française de Rome, 2021, p. 83-99.

Dernière modification : 19 mai 2020 16:21

Type d'UE
Séminaires DE/MC
Disciplines
Anthropologie historique, Histoire
Page web
-
Langues
français
Mots-clés
Anthropologie historique Domination Droit, normes et société Dynamiques sociales Famille Genre Histoire Histoire économique et sociale Institutions Parenté Politique Ville
Aires culturelles
Europe France
Intervenant·e·s
  • Fanny Cosandey [référent·e]   directrice d'études, EHESS / Centre de recherches historiques (CRH)
  • Robert Descimon   directeur d'études (retraité·e), EHESS / Centre de recherches historiques (CRH)
  • Elie Haddad   chargé de recherche, CNRS / Centre de recherches historiques (CRH)

Ouvert à toutes et à tous, ce séminaire se veut un atelier de fabrication et de démonstration d’une histoire sociale inscrite dans l’espace politique de l’Ancien Régime. En interrogeant les modalités de participation au pouvoir tout en saisissant les cadres dans lesquels évoluent les ordres, corps, communautés, familles et individus, il cherche à éclairer les évolutions du fonctionnement des systèmes politiques, notamment de la France dite « moderne ». D’un point de vue pédagogique et méthodologique, le séminaire présente des recherches en train de se faire, fondées sur des travaux empiriques qui portent une attention particulière à la construction et à l’usage des sources, mais toujours dans le cadre d’interrogations systémiques visant à énoncer des propositions générales.

L’année à venir sera partagée en deux séquences principales d’interventions, l’une travaillant les formes de la transmission, l’autre revenant sur les évolutions du régime politique de la France moderne. Dans un premier temps, le séminaire s’intéressera ainsi aux données généalogiques en cherchant à restituer l’intégralité des possibles auxquels les acteurs (familles princières ou nobles) étaient ponctuellement confrontés. D’une manière générale, la question sera posée de la parenté comme porteuse, ou non, des gestes et des attendus de la reproduction sociale. La deuxième séquence élargira la perspective en abordant l’articulation entre histoire sociale et histoire politique à travers les questions des transformations de l’office vénal, des charges corporatives, des constructions nobiliaires et bourgeoises, du droit, et de leur place dans les changements structurels de la monarchie et de la société d’Ancien Régime, jusqu’à la Révolution.

Le programme détaillé n'est pas disponible.

  • Séminaires de recherche – Histoire-Histoire du monde/histoire des mondes – M1/S1-S2-M2/S3-S4
    Suivi et validation – annuel hebdomadaire = 12 ECTS
    MCC – fiche de lecture
  • Séminaires de recherche – Histoire-Histoire et sciences sociales – M1/S1-S2-M2/S3-S4
    Suivi et validation – annuel hebdomadaire = 12 ECTS
    MCC – fiche de lecture
Contacts additionnels
-
Informations pratiques

contacter les enseignants par courriel.

Direction de travaux des étudiants

sur rendez-vous.

Réception des candidats

sur rendez-vous.

Pré-requis
-
  • 105 bd Raspail
    105 bd Raspail 75006 Paris
    Salle 8
    annuel / hebdomadaire, vendredi 09:00-11:00
    du 6 novembre 2020 au 11 juin 2021

Poursuivant ses travaux interrompus l’année précédente, le séminaire, qui s’est entièrement tenu par visioconférence, a consacré une longue séquence à la question des rapports entre parenté et reproduction sociale à l’époque moderne, en dialogue notamment avec le livre de Joseph Morsel Noblesse, parenté et reproduction sociale à la fin du Moyen Âge, dont Isabelle Daillant a présenté une lecture du point de vue de l’ethnologie.

L’objectif était de revenir sur l’approche généalogique et anthropologique de la parenté ainsi que sur les conceptions de la société et de la hiérarchie pour déterminer, à partir de cas concrets, les possibles auxquels étaient confrontés les acteurs, les déterminations pesant sur leurs parcours et, d’une manière systémique, les jeux entre exercice de la parenté et maintien de la domination sociale. L’enquête s’est déployée sur différents terrains : noblesse de robe et d’épée, familles princières, corporations parisiennes (Mathieu Marraud et Laurence Croq), mais aussi noblesse ibérique (Antoine Roullet), ou encore usages des fidéicommis dans les élites vénitiennes (Jean-François Chauvard). Anita Guerreau-Jalabert a ouvert sur des perspectives de plus longues durées en exposant ses travaux sur la filiation dans le système de parenté médiéval.

Le séminaire a repris ensuite, dans une deuxième séquence, ses analyses d’approches sociales du politique dans une perspective comparatiste. Là encore, les séances se sont placées dans la suite de celles inaugurées et interrompues l’année précédente sur la politique vénale colbertienne, ses déterminations et ses conséquences sociales et politiques. La vénalité y a de nouveau tenu une place importante : politique vénale louis-quatorzienne, avec ses coûts sociopolitiques pour les officiers « moyens » (Vincent Meyzie), place des pratiques dans la vénalité de certains offices (Robert Descimon, Aurélie Massie et Geneviève Morin), analyse de cette vénalité par une méthode économique (Olivier Musy et Ronan Tallec), confrontation entre les modèles corporatifs et officiers (Mathieu Marraud). Les interrogations se sont également portées vers les enquêtes monarchiques concernant la noblesse des terres et la noblesse des hommes, pour en montrer les attendus, les formes de pouvoir à l’œuvre, les convergences et différences, les conséquences sociales. Deux séances ont également ouvert vers des comparaisons avec d’autres pays. L’une, assurée par Guillaume Carré, a présenté la structuration des maisons de daimyô japonaises en branches aînées et branches cadettes pour montrer comment cette organisation sociale doit se comprendre en rapport avec l’ordre politique instauré par les Tokugawa. L’autre, assurée par Elena Sanchez de Madariaga, a analysé à partir d’un cas exceptionnel de patronage féminin le rôle des fondations pieuses dans les dots et les modèles familiaux à Madrid entre XVe et XVIIe siècle, ouvrant des perspectives nouvelles sur la place de l’organisation ecclésiastique dans les formes de pouvoir et de structuration familiale de la noblesse hispanique.

Enfin, trois séances ont été consacrées à des travaux récents sur l’histoire socio-politique du libertinage. À travers un cas de scandale portant sur un couvent de cordelières à Provins au XVIIe siècle, Nicolas Schapira s’est interrogé sur le phénomène du libertinage dans ses aspects locaux, ancrés dans la vie sociale et religieuse de la ville. Prenant un autre angle d’approche, Laurence Giavarini a présenté ses travaux sur la notion de conjonctures libertines au XVIIe siècle, en montrant qu’elles sont des déplacements de la question théologico-politique portés par des conflits où les écrits tiennent une place centrale. Sa lecture des Historiettes de Tallemand des Réaux comme histoire libertine de l’absolutisme illustre le fait que les contemporains eux-mêmes développaient une approche sociale du politique par l’intermédiaire d’un discours sur les mœurs, lequel pouvait être porteur d’une forte charge critique.

Publications

Publications de Fanny Cosandey :

  • « La reine en ses terres : l’exemple de Catherine de Médicis » dans Nel solco di Teodora. Pratiche, modelli e rappresentazioni del potere femminile dall’antico al contemporaneo, sous la dir. de  Maria Teresa Guerrini, Vicenzo Lagioia et Simona Negruzzo, Franco Angeli, 2020, p. 180-190.
  • « La représentation dans le cérémonial monarchique : manifester l’absence », dans La représentation avant le gouvernement représentatif, sous la dir. de Samuel Hayat, Corinne Péneau et Yves Sintomer, Presses Universitaires de Rennes, 2020, p. 75-96.
  • Avec Isabelle Backouche, Marie-Élizabeth Ducreux, Christophe Duhamelle, Elie Haddad, Laurent Joly et Mathieu Marraud, Frontières, seuils, limites. Histoire sociale des catégorisations, L’Atelier du CRH, n° 21 bis, 2020.
  • Avec Isabelle Backouche, Marie-Élizabeth Ducreux, Christophe Duhamelle, Elie Haddad, Laurent Joly et Mathieu Marraud, Traduction anglaise : Borders, Thresholds, Boundaries: A Social History of Categorizations, L’Atelier du CRH, n° 22 bis, 2021.
  • « Quelles frontières entre public et privé ? Réflexions à partir du domaine royal », dans Frontières, seuils, limites. Histoire sociale des catégorisations, op. cit., n° 21 bis, 2020.
  • Traduction anglaise : « What is the boundary between public and private ? Some reflections, based on the royal domain », dans Borders, Thresholds, Boundaries: A Social History of Categorizations, op. cit., n° 22 bis, 2021.
  • « Introduction », co-écrite avec Isabelle Backouche, Marie-Élizabeth Ducreux, Christophe Duhamelle, Elie Haddad, Laurent Joly et Mathieu Marraud, dans Frontières, seuils, limites. Histoire sociale des catégorisations, op. cit., n° 21 bis, 2020.
  • Traduction anglaise : « Introduction », dans Borders, Thresholds, Boundaries : A Social History of Categorizations, op. cit., 2021.
  • « Les ducs et pairs sous Louis XIV : montrer sa puissance ou craindre de déchoir ? La contestation lors de l’entrée solennelle de 1660 » dans L’expérience du déclassement social, France-Italie, XVIe-premier XIXe siècle), sous la dir. de : Jean-François Chauvard, Michela Barbot et Stefano Levati, Rome, École Française de Rome, 2021, p. 83-99.