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UE280 - Savoirs, réseaux, médiations


Lieu et planning


  • Autre lieu Toulouse
    Université Toulouse 2 Jean Jaurès
    annuel / mensuel (indifférent), vendredi 14:00-16:00
    du 13 octobre 2023 au 7 juin 2024
    Nombre de séances : 7


Description


Dernière modification : 24 mai 2023 15:56

Type d'UE
Séminaires collectifs de recherche
Disciplines
Sociologie
Page web
https://sms.univ-tlse2.fr/accueil-sms/seminaires/seminaire-savoir-reseaux-et-mediations 
Langues
anglais français
Mots-clés
Réseaux sociaux Sociologie
Aires culturelles
-
Intervenant·e·s
  • Michel Grossetti [référent·e]   directeur d'études, EHESS - directeur de recherche, CNRS / Laboratoire interdisciplinaire solidarités, sociétés, territoires (LISST)

Guillaume Favre (maître de conférences, Université Toulouse-Jean Jaurès) et Béatrice Milard (professeure des universités, Université Toulouse-Jean Jaurès) participent à l'organisation du séminaire.

Le séminaire « Savoirs, réseaux, médiations » combine les études sur les sciences et les analyses de réseaux sociaux autour d’une réflexion plus générale sur les formes sociales. Le séminaire est principalement dédié à la discussion de recherches empiriques en cours ou récentes, mais il organise également des échanges sur les théories des sciences sociales prenant en compte les relations interpersonnelles et les formes collectives. Le séminaire s’appuie particulièrement sur les travaux des chercheur·e·s, doctorant·e·s et postdoctorant·e·s du LISST (UMR 5193, UT2J-CNRS-EHESS). Il accueille également des chercheur·e·s d’autres équipes qui travaillent sur des thématiques proches et amène à des discussions croisées. Il est ouvert à tou·te·s les étudiant·es de master, les doctorant·es et les chercheurs intéressés par les questions abordées.

Le programme détaillé sera disponble en octobre 2023.


Master


Cette UE n'est rattachée à aucune formation de master.


Renseignements


Contacts additionnels
-
Informations pratiques

les séances de ce séminaire se tiennent à l'Université Toulouse Jean-Jaurès, bâtiment Olympe de Gouges, GS122. La plupart des séances sont vidéo-diffusées.

Direction de travaux des étudiants
-
Réception des candidats
-
Pré-requis

Licence de sciences sociales.

Dernière modification : 24 mai 2023 15:56

Type d'UE
Séminaires collectifs de recherche
Disciplines
Sociologie
Page web
https://sms.univ-tlse2.fr/accueil-sms/seminaires/seminaire-savoir-reseaux-et-mediations 
Langues
anglais français
Mots-clés
Réseaux sociaux Sociologie
Aires culturelles
-
Intervenant·e·s
  • Michel Grossetti [référent·e]   directeur d'études, EHESS - directeur de recherche, CNRS / Laboratoire interdisciplinaire solidarités, sociétés, territoires (LISST)

Guillaume Favre (maître de conférences, Université Toulouse-Jean Jaurès) et Béatrice Milard (professeure des universités, Université Toulouse-Jean Jaurès) participent à l'organisation du séminaire.

Le séminaire « Savoirs, réseaux, médiations » combine les études sur les sciences et les analyses de réseaux sociaux autour d’une réflexion plus générale sur les formes sociales. Le séminaire est principalement dédié à la discussion de recherches empiriques en cours ou récentes, mais il organise également des échanges sur les théories des sciences sociales prenant en compte les relations interpersonnelles et les formes collectives. Le séminaire s’appuie particulièrement sur les travaux des chercheur·e·s, doctorant·e·s et postdoctorant·e·s du LISST (UMR 5193, UT2J-CNRS-EHESS). Il accueille également des chercheur·e·s d’autres équipes qui travaillent sur des thématiques proches et amène à des discussions croisées. Il est ouvert à tou·te·s les étudiant·es de master, les doctorant·es et les chercheurs intéressés par les questions abordées.

Le programme détaillé sera disponble en octobre 2023.

Cette UE n'est rattachée à aucune formation de master.

Contacts additionnels
-
Informations pratiques

les séances de ce séminaire se tiennent à l'Université Toulouse Jean-Jaurès, bâtiment Olympe de Gouges, GS122. La plupart des séances sont vidéo-diffusées.

Direction de travaux des étudiants
-
Réception des candidats
-
Pré-requis

Licence de sciences sociales.

  • Autre lieu Toulouse
    Université Toulouse 2 Jean Jaurès
    annuel / mensuel (indifférent), vendredi 14:00-16:00
    du 13 octobre 2023 au 7 juin 2024
    Nombre de séances : 7

Le séminaire « Savoirs, réseaux, médiations » combine les études sur les sciences et les analyses de réseaux sociaux autour d’une réflexion sur les formes de production, de diffusion et de mise en œuvre des savoirs et sur les formes sociales.

Timothée Chabot a présenté ses recherches sur le thème « Comment l’homophilie sociale émerge-t-elle ? Processus explicatifs de la ségrégation des amitiés adolescentes ». Au cours d’une enquête dans quatre collèges socialement mixtes, il a montré que le degré de transitivité des relations et la force de l’homophilie résidentielle ne varient pas selon l’origine sociale. Mais l’homophilie de goûts musicaux et de personnalité déclarée est plus marquée chez les enfants des classes supérieures, une fois prises en compte les principales propriétés structurelles des réseaux.

Cécile Crespy a présenté une communication intitulée « L’OCDE face aux modèles de politique scientifique : quelle place pour l’innovation ? ». Alors que l’influence des organisations internationales sur le gouvernement et les réformes des politiques scientifiques est communément admise, quels sont les idées et les modèles que celles-ci véhiculent ?

Nikita Basov, a présenté une recherche sur le thème « Socio-Cultural Patterning of the European Intellectual Landscape ». Pour dévoiler les mécanismes d'interaction entre les structures sociales et idéationnelles, l'étude se concentre sur quatre communautés intellectuelles européennes de philosophes historiquement remarquables qui ont travaillé en anglais, en français, en allemand et en russe entre le milieu du 19e et le milieu du 20e siècle.

Catherine Comet a présenté une communication intitulée « Qu’en est-il de la fracturation des élites économiques en France ? ». Elle a montré que les réseaux interlocks français connaissent, comme dans la plupart des pays industrialisés, une nette baisse de leur densité mais que ce déclin est largement compensé par d’autres sources de cohésion et que les réseaux de planification formés par les think tanks constituent un moyen alternatif de cartographier ces cercles de pouvoir.

Jérémie Garrigues a présenté une communication intitulée « Comment appréhender la dynamique des plateformes du Web ? Le cas d’une plateforme de pornographie “live” ». Il a montré comment ont évolué les usages de la plateforme étudiée.

José Luis Molina a présenté une communication intitulée « Migrant corridors and local identities within Europe: reflections from the field ». Il a montré que dans certains cas, les flux migratoires suivent des connexions de lieu à lieu, des structures sociales transnationales émergentes appelées « couloirs de migration », évoluant au fil du temps. La recherche présentée a cartographié deux corridors de migrants entre des lieux en Roumanie et en Espagne.

Eric Widmer, a présenté une communication intitulée « Comment l’homophilie sociale émerge-t-elle ? Processus explicatifs de la ségrégation des amitiés adolescentes ». Il a présenté une étude de l’évolution de réseaux complets d’amitié entre des élèves de collège suivis pendant plusieurs années.

Sacha Dubar a communiqué sur le thème « Sociabilité et réseaux personnels dans l'enseignement supérieur français », dans le cadre d’une thèse en cours. Ce travail vise à mesurer la sociabilité et les réseaux personnels des étudiants en France, en lien avec la structure de l'enseignement supérieur. L’intervention s'est concentrée sur la méthodologie, les défis liés à la collecte de données relationnelles, ainsi que sur les solutions proposées.

Ophélie Latouille, sur le thème « Quitter la métropole en temps de crise », a présenté le sujet de sa thèse qui s'intéresse au rôle des relations personnelles lors de doubles bifurcations, c’est-à-dire les mobilités professionnelles du salariat vers le statut de travailleur indépendant des individus ayant effectué une bifurcation résidentielle vers une commune moins densément peuplée.